Numismatica Genevensis SA
Auction 7 27-28 November 2012
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Royaume latin de Jérusalem. Anonyme. Imitation d’un Dinar d’al-Mustansir (AH 427-487), date et atelier illisibles.
Inscription sur quatre lignes dans deux cercles concentriques ornés de trois globules / Inscription sur quatre lignes dans deux cercles concentriques ornés de trois globules. 3,99g. Album 730; MPS p. 123.3a.
Rare. Très bel exemplaire.
Le monnayage en or des croisés était largement inspiré des Dinars fatimides et ayyoubides émis dans les territoires musulmans voisins des leurs. L’utilisation de légendes en arabe ou ressemblant à une graphie arabe devait faciliter leur diffusion lors d’échanges avec les populations musulmanes. L’imitation était parfois plus ou moins fidèle, comme dans le cas du Dinar au type d’al-Amir, ou nettement plus fruste, comme dans le cas du Dinar au type d’al-Mustansir.
The gold coinage of the Crusaders was largely based on the legends and designs of the Fatimid and Ayyubid gold coinages struck in the Muslim lands which surrounded their territories. The use of Arabic, or quasi-Arabic legends was an attempt to secure the coins’ acceptability in trade with Muslims. Sometimes they were good, more or less careful imitations, as in the case of the type of al-Amir, and at others they were crude, as those in the style of al-Mustansir.
Inscription sur quatre lignes dans deux cercles concentriques ornés de trois globules / Inscription sur quatre lignes dans deux cercles concentriques ornés de trois globules. 3,99g. Album 730; MPS p. 123.3a.
Rare. Très bel exemplaire.
Le monnayage en or des croisés était largement inspiré des Dinars fatimides et ayyoubides émis dans les territoires musulmans voisins des leurs. L’utilisation de légendes en arabe ou ressemblant à une graphie arabe devait faciliter leur diffusion lors d’échanges avec les populations musulmanes. L’imitation était parfois plus ou moins fidèle, comme dans le cas du Dinar au type d’al-Amir, ou nettement plus fruste, comme dans le cas du Dinar au type d’al-Mustansir.
The gold coinage of the Crusaders was largely based on the legends and designs of the Fatimid and Ayyubid gold coinages struck in the Muslim lands which surrounded their territories. The use of Arabic, or quasi-Arabic legends was an attempt to secure the coins’ acceptability in trade with Muslims. Sometimes they were good, more or less careful imitations, as in the case of the type of al-Amir, and at others they were crude, as those in the style of al-Mustansir.