Numismatica Genevensis SA
Auction 17 15 Nov 2022
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ITALIE
LE BRONZE LE PLUS RARE DU ROYAUME D'ITALIE, UN TEMOIGNAGE EXCEPTIONNEL DU MONNAYAGE SOUS VICTOR-EMMANUEL II
Victor-Emmanuel II, roi d'Italie, 1861-1878. 10 Centesimi 1867 OM (tête d'angelot), Bruxelles. Buste nu à gauche. Marque de l'atelier de Bruxelles au-dessous / Valeur et date dans une couronne de laurier et de chêne. Etoile rayonnante au-dessus. Initales OM à l'exergue. Tranche lisse. 9,69g. CNI, I, p. 471, n°85; Gigante 100 (R5); Luppino RN128 (R5); MIR 1092o (R5); Mont. 244 (R5); Nomisma 952 (R5); Pagani prove 116 (R4); Simonetti 25/16.
De la plus haute rareté. Superbe exemplaire.
La pièce de 10 Centesimi est émise pour la première fois en 1862, d'abord à titre d'essai par l'atelier de Naples (buste à droite), puis selon le type définitif par les autres ateliers, selon le décret du 2 mai 1861. La production est confiée aux ateliers de Milan, Naples et Turin, ainsi qu'à des ateliers étrangers, tels que Birmingham, Bruxelles, Paris et Strasbourg. La production bruxelloise est de loin la plus rare. Indice d'une production particulière, la pièce de 1867 porte les initiales du responsable de l'atelier de Strasbourg, Oesgher Mesdach, et non d'un responsable belge. Selon Sergio Cudazzo, auteur du MIR, il n'existerait pas plus de six exemplaires de cette monnaie. Mais seuls trois exemplaires sont connus de façon certaine aujourd'hui.
LE BRONZE LE PLUS RARE DU ROYAUME D'ITALIE, UN TEMOIGNAGE EXCEPTIONNEL DU MONNAYAGE SOUS VICTOR-EMMANUEL II
Victor-Emmanuel II, roi d'Italie, 1861-1878. 10 Centesimi 1867 OM (tête d'angelot), Bruxelles. Buste nu à gauche. Marque de l'atelier de Bruxelles au-dessous / Valeur et date dans une couronne de laurier et de chêne. Etoile rayonnante au-dessus. Initales OM à l'exergue. Tranche lisse. 9,69g. CNI, I, p. 471, n°85; Gigante 100 (R5); Luppino RN128 (R5); MIR 1092o (R5); Mont. 244 (R5); Nomisma 952 (R5); Pagani prove 116 (R4); Simonetti 25/16.
De la plus haute rareté. Superbe exemplaire.
La pièce de 10 Centesimi est émise pour la première fois en 1862, d'abord à titre d'essai par l'atelier de Naples (buste à droite), puis selon le type définitif par les autres ateliers, selon le décret du 2 mai 1861. La production est confiée aux ateliers de Milan, Naples et Turin, ainsi qu'à des ateliers étrangers, tels que Birmingham, Bruxelles, Paris et Strasbourg. La production bruxelloise est de loin la plus rare. Indice d'une production particulière, la pièce de 1867 porte les initiales du responsable de l'atelier de Strasbourg, Oesgher Mesdach, et non d'un responsable belge. Selon Sergio Cudazzo, auteur du MIR, il n'existerait pas plus de six exemplaires de cette monnaie. Mais seuls trois exemplaires sont connus de façon certaine aujourd'hui.